C'est un énième post de vacances que je vous fais ici. C'est-à-dire que cet été j'ai pu en profiter. des grandes vacances. celles que j'attendais depuis des mois, devrais-je presque dire des années.
Des vacances de grands, longues, en plein mois d'août, ça ne m'était pas arrivé depuis très longtemps. L'impatience s'était fait sentir pour tout boucler : les sujets au boulot, les valises, les hot spots à visiter, le programme était chargé. Il y a eu Perpignan, le Sud de la France, dont je vous ai déjà un peu parlé (et que j'ai largement inondé en posts sur Instagram). Ibiza aussi sur laquelle je vais revenir bientôt (on dirait que vous allez être coincés avec mes récits de vacances).
Et puis la Bretagne. La maison.
Cet endroit que je pensais connaitre par coeur et finalement pas tant que ça. En profiter alors pour la (re)découvrir. Ses plages encore et toujours et ses coins cachés.
Il y avait déjà eu un bref aperçu en juillet où il soufflait déjà l'air bienfaiteur des vacances.
S'offrir le luxe de ne rien faire, en profiter pour se lever tôt, se coucher tard ou parfois se lever tard et se coucher tôt. Pas de contraintes, à part le choix du maillot de bain peut-être, et des activités de la plage (et 1 jour sur 2 de l'itinéraire de running).
Je suis devenue experte en château de sable. Le secret : pas trop d'eau, 30 secondes de repos "et taper au milieu du seau"; c'est que j'avais oublié.
On a construit des minis châteaux qui ont du se renverser à la première vague.
On a crée des personnages avec des coquillages et on leur a inventé des histoires de prince et de princesse. On a fait comme si on élevait des bernard l'hermite qu'on a d'abord pris pour des crabes qu'on a alors ramassé par dizaine et puis "t'as vu ça ne pique pas".
On a conduit pendant des kilomètres sur des routes de campagne et fonds d'air iodé, mis la musique à fond sur des chansons qu'on connait par coeur mais qu'on n'assume pas du tout de connaître par coeur.
J'ai cueilli des kilos de prunes, en ai mangé encore plus.
Je me suis promis que j'aurai une maison avec des pruniers à mon tour et des poiriers et même des pommiers tiens. J'en ferai des tonnes de confitures, et des tartes aussi que je ne mangerai sûrement pas et avant, qu'il faudrait que j'apprenne à faire.
J'ai dit que je voulais des huitres même si ce n'était pas la saison; des huitres avec du pain et du beurre demi-sel, les seules fois où je mange du beurre (oui je sais pour une bretonne c'est un comble).
Alors on est allés manger des huitres et j'ai découvert par la même occasion, l'un des plus bel endroit sur terre... à seulement quelques kilomètres de là où j'ai vécu presque toute ma vie. Un comble, encore un.
C'était bon,
C'était beau,
C'était bien,
ça faisait du bien.
Des vacances de grands, longues, en plein mois d'août, ça ne m'était pas arrivé depuis très longtemps. L'impatience s'était fait sentir pour tout boucler : les sujets au boulot, les valises, les hot spots à visiter, le programme était chargé. Il y a eu Perpignan, le Sud de la France, dont je vous ai déjà un peu parlé (et que j'ai largement inondé en posts sur Instagram). Ibiza aussi sur laquelle je vais revenir bientôt (on dirait que vous allez être coincés avec mes récits de vacances).
Et puis la Bretagne. La maison.
Cet endroit que je pensais connaitre par coeur et finalement pas tant que ça. En profiter alors pour la (re)découvrir. Ses plages encore et toujours et ses coins cachés.
Il y avait déjà eu un bref aperçu en juillet où il soufflait déjà l'air bienfaiteur des vacances.
S'offrir le luxe de ne rien faire, en profiter pour se lever tôt, se coucher tard ou parfois se lever tard et se coucher tôt. Pas de contraintes, à part le choix du maillot de bain peut-être, et des activités de la plage (et 1 jour sur 2 de l'itinéraire de running).
Je suis devenue experte en château de sable. Le secret : pas trop d'eau, 30 secondes de repos "et taper au milieu du seau"; c'est que j'avais oublié.
On a construit des minis châteaux qui ont du se renverser à la première vague.
On a crée des personnages avec des coquillages et on leur a inventé des histoires de prince et de princesse. On a fait comme si on élevait des bernard l'hermite qu'on a d'abord pris pour des crabes qu'on a alors ramassé par dizaine et puis "t'as vu ça ne pique pas".
On a conduit pendant des kilomètres sur des routes de campagne et fonds d'air iodé, mis la musique à fond sur des chansons qu'on connait par coeur mais qu'on n'assume pas du tout de connaître par coeur.
J'ai cueilli des kilos de prunes, en ai mangé encore plus.
Je me suis promis que j'aurai une maison avec des pruniers à mon tour et des poiriers et même des pommiers tiens. J'en ferai des tonnes de confitures, et des tartes aussi que je ne mangerai sûrement pas et avant, qu'il faudrait que j'apprenne à faire.
J'ai dit que je voulais des huitres même si ce n'était pas la saison; des huitres avec du pain et du beurre demi-sel, les seules fois où je mange du beurre (oui je sais pour une bretonne c'est un comble).
Alors on est allés manger des huitres et j'ai découvert par la même occasion, l'un des plus bel endroit sur terre... à seulement quelques kilomètres de là où j'ai vécu presque toute ma vie. Un comble, encore un.
C'était bon,
C'était beau,
C'était bien,
ça faisait du bien.
- Port-Louis, Morbihan -
- Erdeven, Morbihan -
- Gavres, Morbihan -
- Riec-Sur-Belon, Finistère -
- Je porte une chemise Isabel Marant, un bandana et un levis vintage -
- Je porte une chemise Isabel Marant, un bandana et un levis vintage -
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