Ce matin-là, on s'était levé tôt.
Trop tôt selon moi (je ne suis pas du matin).
Je ronchonnais un peu.
Il faisait pourtant déjà beaucoup trop chaud.
J'ai avalé la moitié d'un grand café, trop chaud, lui aussi. Voulu patienter pour le boire, on m'a dit qu'il ne fallait pas trop traîner.
j'ai ronchonné encore.
J'ai enfilé ma robe de l'été, vous savez celle qui est de toutes vos valises, toutes vos vacances; pas franchement la plus jolie mais assurément la plus confortable.
Attaché mes cheveux en un chignon de douche.
J'ai zappé l'étape maquillage. j'avais décidé de faire une detox cosmétique. ça faisait 1 semaine. ça faisait du bien. Ne pas se poser la question d'être jolie ou pas.
On a emprunté un grand sac de plage que l'on n'avait pas, avec des paillettes, on détestait mais on s'en fichait aussi un peu.
On l'a rempli de nos serviettes, crèmes solaires et appareil photo.
Comme des enfants, on a promis qu'on enverrait un message quand on arriverait à destination... à 25 mins de train de là.
On est arrivés trop tôt à la gare. j'ai ronchonné à nouveau en disant que j'aurais pu finir mon grand café.
Le train est arrivé, un train tout ce qu'il y a de plus ordinaire avec ses sièges à la couleur un peu passée, sa clim trop forte.
Restaient son allure plus lente et les paysages qui défilaient, aux goûts des vacances.
Il y avait cette famille avec ses 3 jeunes enfants, dorée, dépassée, un peu contrariée, la famille en vacances.
On est arrivés sans savoir où nous rendre vraiment. Gare de Collioure, 2 mins d'arrêt.
On a suivi les gens devant nous. Direction la mer. et avant d'y arriver, ces maisons hautes, un peu
colorées, chaleureuses. ces rues bondées de touristes qui faisaient comme nous.
On était arrivés dans la ville qui pourrait être l'incarnation des vacances. Entre agitation et douce paresse.
On a déjeuner face à la mer, (je ne me souviens plus du nom mais c'est à côté de l'amphitryon, le dernier de la rangée de restaurants de ce côté là de la mer, et c'était vraiment très bien).
Il y avait ce garçon qui pourrait être le futur Alain Delon (en moins con, espérons).
Nous nous sommes ensuite baignés 1 fois, 2 fois, en trébuchant sur les rochers en entrant et en sortant de l'eau.
On a observé les gens (mon activité favorite). Il y avait cette autre famille. 4 enfants, 4 beautés. j'ai dis que j'en voulais des exactement pareils.
On a pris une dernière et énorme glace (Saveurs d'Antan : c'est artisanal et délicieux) avant le train dans l'autre sens.
Il s'était passé 08h. L'équivalent d'une journée de travail mais qui en heures de vacances vaut beaucoup plus.
Des parenthèse d'été un peu trop courtes peut-être, un peu trop bien c'est sur.
Trop tôt selon moi (je ne suis pas du matin).
Je ronchonnais un peu.
Il faisait pourtant déjà beaucoup trop chaud.
J'ai avalé la moitié d'un grand café, trop chaud, lui aussi. Voulu patienter pour le boire, on m'a dit qu'il ne fallait pas trop traîner.
j'ai ronchonné encore.
J'ai enfilé ma robe de l'été, vous savez celle qui est de toutes vos valises, toutes vos vacances; pas franchement la plus jolie mais assurément la plus confortable.
Attaché mes cheveux en un chignon de douche.
J'ai zappé l'étape maquillage. j'avais décidé de faire une detox cosmétique. ça faisait 1 semaine. ça faisait du bien. Ne pas se poser la question d'être jolie ou pas.
On a emprunté un grand sac de plage que l'on n'avait pas, avec des paillettes, on détestait mais on s'en fichait aussi un peu.
On l'a rempli de nos serviettes, crèmes solaires et appareil photo.
Comme des enfants, on a promis qu'on enverrait un message quand on arriverait à destination... à 25 mins de train de là.
On est arrivés trop tôt à la gare. j'ai ronchonné à nouveau en disant que j'aurais pu finir mon grand café.
Le train est arrivé, un train tout ce qu'il y a de plus ordinaire avec ses sièges à la couleur un peu passée, sa clim trop forte.
Restaient son allure plus lente et les paysages qui défilaient, aux goûts des vacances.
Il y avait cette famille avec ses 3 jeunes enfants, dorée, dépassée, un peu contrariée, la famille en vacances.
On est arrivés sans savoir où nous rendre vraiment. Gare de Collioure, 2 mins d'arrêt.
On a suivi les gens devant nous. Direction la mer. et avant d'y arriver, ces maisons hautes, un peu
colorées, chaleureuses. ces rues bondées de touristes qui faisaient comme nous.
On était arrivés dans la ville qui pourrait être l'incarnation des vacances. Entre agitation et douce paresse.
On a déjeuner face à la mer, (je ne me souviens plus du nom mais c'est à côté de l'amphitryon, le dernier de la rangée de restaurants de ce côté là de la mer, et c'était vraiment très bien).
Il y avait ce garçon qui pourrait être le futur Alain Delon (en moins con, espérons).
Nous nous sommes ensuite baignés 1 fois, 2 fois, en trébuchant sur les rochers en entrant et en sortant de l'eau.
On a observé les gens (mon activité favorite). Il y avait cette autre famille. 4 enfants, 4 beautés. j'ai dis que j'en voulais des exactement pareils.
On a pris une dernière et énorme glace (Saveurs d'Antan : c'est artisanal et délicieux) avant le train dans l'autre sens.
Il s'était passé 08h. L'équivalent d'une journée de travail mais qui en heures de vacances vaut beaucoup plus.
Des parenthèse d'été un peu trop courtes peut-être, un peu trop bien c'est sur.
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