Suite (et presque fin) de mes récits de vacances d'été.
Ibiza, c'était un peu un hasard comme destination.
J'y étais déjà allée. J'avais 16 ou 17 ans mais mes souvenirs de l'ile restent assez flous (et non ce n'est pas ce que vous croyez. J'étais partie avec ma maman et ma petite soeur).
Cette année, on a joué au jeu du globe qu'on arrête; on voulait partir, sans trop savoir où; on voulait du soleil à tous les coups, du dépaysement, de la fête sans que ce soit les Chtis en Thaïlande (je ne sais pas si ça existe mais c'est pour vous donner une idée de ce qu'on ne voulait pas).
Ibiza ce fût alors et Ibiza ce fut un vrai coup de coeur !
Ce fut surtout loin des clichés et de l'image un tantinet vulgaire et tape-à-l'oeil (euphémisme) que l'on peut avoir.
On a trouvé une ile sauvage, douce, belle, et d'une certaine façon apaisante.
Oui il y a des touristes partout, oui les plages sont bondées mais comme peuvent l'être celles de Biarritz et Hossegor en été aussi (Ooh Biarritz, Oooh Hossegor !).
Mais oui aussi, il y a des gens souriants et accueillants et tout le charme des cultures espagnoles que j'aime tant (je vous en parlais d'ailleurs encore ici).
On a voulu fuir l'image et la partie de l'ile à l'origine de cette réputation sexe, bimbos et paillettes (San Antonio à l'ouest de l'ile, on y est allés pour une pool party, on n'y retournera plus jamais) et avons alors choisi de poser nos valises à l'est d'Ibiza, à Santa Eularia. Plus calme, plus familiale.
Nous avons logé à Intertur Miami Beach dans un grand hôtel sans vraiment de charme, comme la ville peut en abriter beaucoup et où couples avec enfants étaient légions. Ses avantages toutefois : une location idéale face à la mer, des chambres spacieuses et ultra-propres, une jolie piscine et un petit-déjeuner (l'une de mes choses favorites au monde) copieux, varié, à base de fruits frais, de laits multiples et de pancakes moelleux.
Nous avions une vue à couper le souffle et étions les pieds dans l'eau; Canar Beach est devenu notre QG (en plus d'être celui des FILF). Nous avons passé des matinées entières et des soirées à faire la navette entre le transat et l'eau ultra-salée (une caractéristique d'Ibiza) nous baignant, nous séchant rapidement à l'ombre d'un parasol pour mieux recommencer.
Le reste du temps on est allés nous perdre dans les jolies rues d'Eivissa, capitale et coeur de l'ile. J'ai lu quelque part qu'elle était surnommée l'ile blanche pour ses façades immaculées et son soleil éblouissant qui se mêlent au ciel bleu et aux autres maisons couleurs pastel.
On a tellement adoré qu'on s'est promis d'y retourner l'année prochaine, comme une tradition à perpétuer. Vivement 2017 alors !
Je vous laisse avec quelques conseils pratiques et (bonnes) adresses si vous avez prévu de vous y rendre à votre tour (il y fait doux et bon jusqu'octobre).
* Louez un scooter pour vous déplacer. L'ile est assez petite et ça s'y prête très bien.
Sinon, il y a des bus qui traversent la ville de part et d'autre pour quelques euros.
* Passez au moins 1 journée à Formentera (je vous en parle demain par ici)
* Fuyez San Antonio à moins d'avoir envie de vivre un remake des Chtis en Thaïlande
* Allez dîner ou déjeuner ou simplement prendre un verre(litre) de sangria à El caos, à Santa Eularia.
En voyage, je pense que le hasard fait toujours bien les choses (en fait dans la vie aussi j'ai tendance à dire que les choses arrivent pour une raison), nous sommes donc tombés par hasard sur ce restaurant qui propose également des fruits et légumes bio à la vente. C'est entièrement veggie (testez le burger et les fajitas végétariens), fait maison et à la minute, c'est petit, chaleureux, et délicieux. Pour compléter le tableau, c'est face à la mer avec une vue sur le port dont il est difficile de se lasser.
* Terminez par 1 glace artisanale à Miretti.
* Prenez 1 litre de sangria au champagne et quelques tapas dans le ... es canar Beach
littéralement les pieds dans le sable
* Et puis profitez beaucoup, passionnément, à la folie. Cette ville est faite pour ça !
Ibiza, c'était un peu un hasard comme destination.
J'y étais déjà allée. J'avais 16 ou 17 ans mais mes souvenirs de l'ile restent assez flous (et non ce n'est pas ce que vous croyez. J'étais partie avec ma maman et ma petite soeur).
Cette année, on a joué au jeu du globe qu'on arrête; on voulait partir, sans trop savoir où; on voulait du soleil à tous les coups, du dépaysement, de la fête sans que ce soit les Chtis en Thaïlande (je ne sais pas si ça existe mais c'est pour vous donner une idée de ce qu'on ne voulait pas).
Ibiza ce fût alors et Ibiza ce fut un vrai coup de coeur !
Ce fut surtout loin des clichés et de l'image un tantinet vulgaire et tape-à-l'oeil (euphémisme) que l'on peut avoir.
On a trouvé une ile sauvage, douce, belle, et d'une certaine façon apaisante.
Oui il y a des touristes partout, oui les plages sont bondées mais comme peuvent l'être celles de Biarritz et Hossegor en été aussi (Ooh Biarritz, Oooh Hossegor !).
Mais oui aussi, il y a des gens souriants et accueillants et tout le charme des cultures espagnoles que j'aime tant (je vous en parlais d'ailleurs encore ici).
On a voulu fuir l'image et la partie de l'ile à l'origine de cette réputation sexe, bimbos et paillettes (San Antonio à l'ouest de l'ile, on y est allés pour une pool party, on n'y retournera plus jamais) et avons alors choisi de poser nos valises à l'est d'Ibiza, à Santa Eularia. Plus calme, plus familiale.
Nous avons logé à Intertur Miami Beach dans un grand hôtel sans vraiment de charme, comme la ville peut en abriter beaucoup et où couples avec enfants étaient légions. Ses avantages toutefois : une location idéale face à la mer, des chambres spacieuses et ultra-propres, une jolie piscine et un petit-déjeuner (l'une de mes choses favorites au monde) copieux, varié, à base de fruits frais, de laits multiples et de pancakes moelleux.
Nous avions une vue à couper le souffle et étions les pieds dans l'eau; Canar Beach est devenu notre QG (en plus d'être celui des FILF). Nous avons passé des matinées entières et des soirées à faire la navette entre le transat et l'eau ultra-salée (une caractéristique d'Ibiza) nous baignant, nous séchant rapidement à l'ombre d'un parasol pour mieux recommencer.
Le reste du temps on est allés nous perdre dans les jolies rues d'Eivissa, capitale et coeur de l'ile. J'ai lu quelque part qu'elle était surnommée l'ile blanche pour ses façades immaculées et son soleil éblouissant qui se mêlent au ciel bleu et aux autres maisons couleurs pastel.
On a tellement adoré qu'on s'est promis d'y retourner l'année prochaine, comme une tradition à perpétuer. Vivement 2017 alors !
Je vous laisse avec quelques conseils pratiques et (bonnes) adresses si vous avez prévu de vous y rendre à votre tour (il y fait doux et bon jusqu'octobre).
* Louez un scooter pour vous déplacer. L'ile est assez petite et ça s'y prête très bien.
Sinon, il y a des bus qui traversent la ville de part et d'autre pour quelques euros.
* Passez au moins 1 journée à Formentera (je vous en parle demain par ici)
* Fuyez San Antonio à moins d'avoir envie de vivre un remake des Chtis en Thaïlande
* Allez dîner ou déjeuner ou simplement prendre un verre
En voyage, je pense que le hasard fait toujours bien les choses (en fait dans la vie aussi j'ai tendance à dire que les choses arrivent pour une raison), nous sommes donc tombés par hasard sur ce restaurant qui propose également des fruits et légumes bio à la vente. C'est entièrement veggie (testez le burger et les fajitas végétariens), fait maison et à la minute, c'est petit, chaleureux, et délicieux. Pour compléter le tableau, c'est face à la mer avec une vue sur le port dont il est difficile de se lasser.
* Terminez par 1 glace artisanale à Miretti.
* Prenez 1 litre de sangria au champagne et quelques tapas dans le ... es canar Beach
littéralement les pieds dans le sable
* Et puis profitez beaucoup, passionnément, à la folie. Cette ville est faite pour ça !
- Je porte un short levis vintage - un top Oysho (old) - des Bo et des sandales Mango - des maillots de bain Princesse Tam-Tam -
Je lis mon coup de coeur de l'été : En attendant Bojangles, le premier roman d'Olivier Bourdeaut, beau, drôle, triste et extrêmement bien écrit, ça faisait longtemps qu'un roman ne m'avait pas tant accroché -
Je lis mon coup de coeur de l'été : En attendant Bojangles, le premier roman d'Olivier Bourdeaut, beau, drôle, triste et extrêmement bien écrit, ça faisait longtemps qu'un roman ne m'avait pas tant accroché -
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