C'est l'histoire d'une robe

 

Ahlalala mes envies de robes asymétriques ont vite eu raison de mon enthousiasme.

Un portefeuille percé (rappelez-moi pourquoi je suis stagiaire ), des tissus trop légers (C. je t'adore mais on n'a pas idée de se marier en mars), et une silhouette un peu trop enrobée (je suis accro à la glace Haaggen-Dazs au cheesecake), m'ont fait revoir mes belles ambitions à la baisse.

Vite un plan B !

Appel en urgences à ma maman pour aller perquisitionner le fournisseur officiel de robes classico-habillées, des chaussures que j'avais acheté en fin de soldes ultra bradées sans vraiment savoir qu'en faire, des accessoires trouvés et/ou prêtés en urgences la veille du mariage. Voilà l'opération un peu bancale de ma tenue. Une tenue qui ne me "ressemble pas vraiment" (que m'a confirmé une amie ce jour-là), mais dans laquelle, contre toute attente également, je me sentais bien (l'abus de boisson à bulle n'avait rien à voir avec cette sensation.)

Et finalement, le plus important ce jour là, ce n'était pas moi * mais l'heureux couple qui nous a offert un mariage fabuleux dans un décor incroyable !

Pochette Minelli / Bracelets et bague H&M

Robe comptoir des cotonniers / B.O isabel Marant

Chaussures Kookai  / Trench Sud Express

* J'ai honte, je me tiens comme si j'avais du trainer depuis Paris la charrette pleine de blé derrière moi.