"Alors juste pour dire que j'ai un nouveau critère concernant l'homme de ma vie : surfeur, planneur* et TRAILER".
J'ai déclaré cela de façon très solennelle le samedi soir après avoir fait un trail sur les hauteurs grenobloises (!) avec la Team Go Sport. La révélation un peu.
Mon premier trail (ok petit) de toute ma vie.
Pas le dernier ? Soyons honnêtes, dans l'état actuel des choses, c'est-à-dire dans l'état actuel de mon dos qui a besoin d'un bon osthéo (il parait que c'est le stress, je parie que c'est que je vieillis), de ma jambe gauche qui je cite : "est une pile d'assiette" et de mon appétence pour les soirées bières, je ne suis pas prête pour recommencer. Je ne l'étais d'ailleurs pas à ce jour-là.
J'ai souffert, pas mal. J'ai subi, beaucoup. La montée qu'on a directement attaquée, les autres montées qui ne semblaient jamais vouloir s'arrêter. 440m de dénivelés. Je ne sais pas bien ce que ça veut dire (à part que c'est comme courir 4kms de plus que la distance réelle pour les parcourir (!)(?)), mais je sais que ça tire, que c'est exigeant et que dans l'état actuel des choses donc, j'ai clairement manqué de rigueur ces dernières semaines et que je l'ai payé.
ça m'a semblé tellement différent de courir. Je veux dire de courir comme j'en ai l'habitude. Sur du plat, sur une piste, à Paris, en Bretagne ou même en bords d'océan.
Un trail, ça se mérite mais ça en vaut les efforts. A l'arrivée, le point de vue sur la ville est à couper le souffle et le (pas si simple) chemin pour arriver à ce point de vue est lui aussi dépaysant : du vert, des petits sentiers qui en ont à peine le nom, des fleurs, de la pleine nature. On est comme déconnecté de toute l'agitation de la ville en dessous, du quotidien en règle générale. ça (me) fait un bien fou.
Et il y a la redescente, mon moment préféré (sportive paresseuse). Le moment où j'ai commencé à m'amuser. Les appuis sont différents, les sensations aussi. Je joue à la femme araignée car il a beaucoup plus et que ça glisse et ça me fait marrer. On se met d'une certaine façon "en danger" (avec plein de guillemets).
En plus, j'avais le plus beau débardeur de la saison.
Et puis le lendemain, on est allés faire de l'escalade et j'ai encore plus adoré. Résultat, j'ai (encore !) un nouveau critère pour l'homme de ma vie.
Surfeur, planneur, trailer... et grimpeur aussi
J'ai déclaré cela de façon très solennelle le samedi soir après avoir fait un trail sur les hauteurs grenobloises (!) avec la Team Go Sport. La révélation un peu.
Mon premier trail (ok petit) de toute ma vie.
Pas le dernier ? Soyons honnêtes, dans l'état actuel des choses, c'est-à-dire dans l'état actuel de mon dos qui a besoin d'un bon osthéo (il parait que c'est le stress, je parie que c'est que je vieillis), de ma jambe gauche qui je cite : "est une pile d'assiette" et de mon appétence pour les soirées bières, je ne suis pas prête pour recommencer. Je ne l'étais d'ailleurs pas à ce jour-là.
J'ai souffert, pas mal. J'ai subi, beaucoup. La montée qu'on a directement attaquée, les autres montées qui ne semblaient jamais vouloir s'arrêter. 440m de dénivelés. Je ne sais pas bien ce que ça veut dire (à part que c'est comme courir 4kms de plus que la distance réelle pour les parcourir (!)(?)), mais je sais que ça tire, que c'est exigeant et que dans l'état actuel des choses donc, j'ai clairement manqué de rigueur ces dernières semaines et que je l'ai payé.
ça m'a semblé tellement différent de courir. Je veux dire de courir comme j'en ai l'habitude. Sur du plat, sur une piste, à Paris, en Bretagne ou même en bords d'océan.
Un trail, ça se mérite mais ça en vaut les efforts. A l'arrivée, le point de vue sur la ville est à couper le souffle et le (pas si simple) chemin pour arriver à ce point de vue est lui aussi dépaysant : du vert, des petits sentiers qui en ont à peine le nom, des fleurs, de la pleine nature. On est comme déconnecté de toute l'agitation de la ville en dessous, du quotidien en règle générale. ça (me) fait un bien fou.
Et il y a la redescente, mon moment préféré (sportive paresseuse). Le moment où j'ai commencé à m'amuser. Les appuis sont différents, les sensations aussi. Je joue à la femme araignée car il a beaucoup plus et que ça glisse et ça me fait marrer. On se met d'une certaine façon "en danger" (avec plein de guillemets).
En plus, j'avais le plus beau débardeur de la saison.
Et puis le lendemain, on est allés faire de l'escalade et j'ai encore plus adoré. Résultat, j'ai (encore !) un nouveau critère pour l'homme de ma vie.
Surfeur, planneur, trailer... et grimpeur aussi
(* ou avocat, le côté story telling plein d'assurance, mais ça ne rimait pas)
* Trail de La Bastille, Grenoble *
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