La Bretagne, ça faisait 5 mois.
Parce que le boulot, le Mexique, le temps ou plutôt celui qui manque.
Comme depuis quelques années, la Bretagne me ré-enchante. Il y a cela de la rareté de venir avec son lot de précieux.
Chaque visite est alors une fête.
Et je (re)découvre chaque facette de ma région.
Dimanche, une nuit de 10h régénératrice, des tartines fraiches et du beurre demi-sel, le café moulu avec ses graines de chicorée, le jardin fleuri de mamie, on m'a dit viens je veux t'emmener à Kerfany, c'est si mignon, et la vue, oh tu verras comme la vue est belle.
J'ai conduit, ça faisait aussi longtemps que la Bretagne, le seul moment où je prends le volant.
J'avais mis les mauvaises chaussures. Je ne m'attendais pas à cela.
Quelques mètres de chemins un peu cabossés qui ouvrent sur des étendues de bleus et toute une partie de la région qui ne (me) demande qu'à être découverte. (Ce sera mon programme de l'été).
Je me suis approchée, à m'en faire peur, à me faire du bien.
Et respirer à pleins poumons.
On est alors redescendu, voir ce qu'il y avait plus bas, là, où de la haut ça faisait un peu peur mais beaucoup de bien.
Le bien était aussi là, plus bas.
J'ai enlevé mes chaussures qui étaient encore moins appropriées,
On s'est alors assis, face au soleil sur une minuscule plage investie de badauds, qui comme nous, ne s'attendaient pas à cela.
Et soupirer avec satisfaction.
Parce que le boulot, le Mexique, le temps ou plutôt celui qui manque.
Comme depuis quelques années, la Bretagne me ré-enchante. Il y a cela de la rareté de venir avec son lot de précieux.
Chaque visite est alors une fête.
Et je (re)découvre chaque facette de ma région.
Dimanche, une nuit de 10h régénératrice, des tartines fraiches et du beurre demi-sel, le café moulu avec ses graines de chicorée, le jardin fleuri de mamie, on m'a dit viens je veux t'emmener à Kerfany, c'est si mignon, et la vue, oh tu verras comme la vue est belle.
J'ai conduit, ça faisait aussi longtemps que la Bretagne, le seul moment où je prends le volant.
J'avais mis les mauvaises chaussures. Je ne m'attendais pas à cela.
Quelques mètres de chemins un peu cabossés qui ouvrent sur des étendues de bleus et toute une partie de la région qui ne (me) demande qu'à être découverte. (Ce sera mon programme de l'été).
Je me suis approchée, à m'en faire peur, à me faire du bien.
Et respirer à pleins poumons.
On est alors redescendu, voir ce qu'il y avait plus bas, là, où de la haut ça faisait un peu peur mais beaucoup de bien.
Le bien était aussi là, plus bas.
J'ai enlevé mes chaussures qui étaient encore moins appropriées,
On s'est alors assis, face au soleil sur une minuscule plage investie de badauds, qui comme nous, ne s'attendaient pas à cela.
Et soupirer avec satisfaction.
- Kerfany, Finistère, Mai 2017 -
Oh, mais c'est chez moi! enfin, c'était... ça fait tellement longtemps que je n'y suis pas retournée. Comme toi, trop occupée à découvrir le monde.
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