ça faisait longtemps que je n'étais pas rentrée. Trop longtemps, c'est toujours ce que je me dis lorsque je reviens.
Parfois on ne remarque pas à quel point une chose nous manque avant de l'avoir à nouveau face à nous.
On rentre dans cette période de l'année où Paris commence à m'étouffer, où les week-ends deviennent trop longs et où l'air marin est l'un des seuls qui me fasse du bien.
Et un long week-end sous le soleil breton me fait toujours le plus grand bien. Celui-ci était définitivement l'un d'eux. De ceux qui te font oublier les dernières mauvaises journées passées, qui créent une rupture avec le quotidien parfois un peu compliqué.
Simplement se laisser aller, porter, trainer.
Des matinées au lit, des petits-déjeuner qu'on fait durer, des après-midi qui commencent tard, des balades qui se finissent quand le soleil commence déjà à décliner.
On a fait de la peinture, des bulles dans le ciel qu'on a chassé, ramassé des coquillages dans le sable avant de les lancer, pas trop fort, sans réussir le moindre ricochet.
J'ai mangé plus que ce que je ne devais, ça devient une tradition, c'est en tout cas un peu la religion de ma maman : remplir son frigo démesurément, de toutes les choses que j'aime, sans exception. Et moi ma mission de ne rien laisser. Trop facile.
Il me tarde déjà d'y repartir...
Parfois on ne remarque pas à quel point une chose nous manque avant de l'avoir à nouveau face à nous.
On rentre dans cette période de l'année où Paris commence à m'étouffer, où les week-ends deviennent trop longs et où l'air marin est l'un des seuls qui me fasse du bien.
Et un long week-end sous le soleil breton me fait toujours le plus grand bien. Celui-ci était définitivement l'un d'eux. De ceux qui te font oublier les dernières mauvaises journées passées, qui créent une rupture avec le quotidien parfois un peu compliqué.
Simplement se laisser aller, porter, trainer.
Des matinées au lit, des petits-déjeuner qu'on fait durer, des après-midi qui commencent tard, des balades qui se finissent quand le soleil commence déjà à décliner.
On a fait de la peinture, des bulles dans le ciel qu'on a chassé, ramassé des coquillages dans le sable avant de les lancer, pas trop fort, sans réussir le moindre ricochet.
J'ai mangé plus que ce que je ne devais, ça devient une tradition, c'est en tout cas un peu la religion de ma maman : remplir son frigo démesurément, de toutes les choses que j'aime, sans exception. Et moi ma mission de ne rien laisser. Trop facile.
Il me tarde déjà d'y repartir...
J'aime beaucoup retourner en Bretagne, c'est une véritable bouffée d'oxygène. Le vent qui fouette le visage, les promenades sous la bruine, la vue sur la mer, j'adore, tout simplement.
RépondreSupprimerJe trouve que le grand bonheur dans ces moments là c'est de se laisser porter et de ne plus gérer le quotidien le temps d'un week end :-) tes photos sont magnifiques
RépondreSupprimerPortlouis, chez moi ♡ Je ne me lasse pas de la grande plage. Cest vrais, y aller chaque jour est un privilege. See you en bretagne
RépondreSupprimerQuand je vais en Bretagne j'ai constamment envie de manger ahah phénomène étrange d'autres diront que c'est l'air marin !
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