Ici c’est Paris partout ce soir, ici c'est Paris que l’on a également pu entendre samedi au Parc des Princes lors du match PSG-Lens. Mais ici c’était aussi les femmes de Paris.
A l'occasion de la journée des droits de la femme, le PMU partenaire du Club parisien a souhaité rendre hommage aux femmes... et aux fans du ballon rond.
Toute la semaine, des jeux avaient été organisés sur les réseaux sociaux et le samedi, nous étions là, maillots sur le dos pour certaines, envie et sourires accrochés au visage pour les autres.
A peine arrivée, une fois n'est pas coutume, ce sont des hôtes qui nous ont accueillies avec une rose et une coupe de champagne, direction l'exposition femmes de Paris. Une exposition en l'honneur des femmes du PSG. De celles que l'on connait, joueuses professionnelles telles que Laura Georges, Marie-Laure Delie et Laure Bouleau notamment, défenseur star de l'équipe de foot féminine, ou celles de l'ombre, maître d'hôtel, hôtesse, chargée des partenariats du Parc, etc.
Mais d'autres femmes, il y en avait ce samedi soir. Une tribune dédiée, pleine ou presque au coeur du Parc et saluée par le speaker avant le début du match.
L'idée était bonne et les gens avaient pour la plupart joué le jeu (quelques hommes s'étaient quand même glissé ici et là dans la tribune) pour voir les parisiens remporté haut la main le match. Le foot c'est un peu mon lot quotidien depuis que je suis haute comme 3 ballons, passant mes week-ends aux bords des terrains pour suivre mon frère, mon cousin, les copains et aussi les quelques filles qui déjà faisaient équipe avec les garçons. Ici, les hommes étaient sur le terrain, les femmes en tribunes.
Moi supportrice un jour et supportrices toujours qui se conjuguent ici au pluriel féminin et c'est déjà ça.
Les hommes ont fait le show (avec notamment 15 dernières minutes explosives et un Matuidi -chouchou- bouillant) et les femmes aussi il me semble (s'en souviennent en tout cas mes oreilles).
Une maman derrière moi qui rappelle, même si on n'avait pas besoin de ça, que la passion du foot et d'un club n'est pas une histoire de sexe et un groupe de jeunes supportrices suédoises que la relève côté tribune au moins est assurée (et que Zlatan est une sorte de dieu, même si, si vous voulez mon avis, ce samedi, il méritait surtout le surnom de paresseux (je vais me faire détester).
A quelques mois de la Coupe du Monde de foot féminin espérons que l'engouement se diffuse d'une façon plus globale, et pas uniquement lorsqu'il s'agit dune journée de la femme. Même pourquoi pas un jour, soyons fous, que la tendance terrain-tribune // hommes-femmes s'inverse.
A l'occasion de la journée des droits de la femme, le PMU partenaire du Club parisien a souhaité rendre hommage aux femmes... et aux fans du ballon rond.
Toute la semaine, des jeux avaient été organisés sur les réseaux sociaux et le samedi, nous étions là, maillots sur le dos pour certaines, envie et sourires accrochés au visage pour les autres.
A peine arrivée, une fois n'est pas coutume, ce sont des hôtes qui nous ont accueillies avec une rose et une coupe de champagne, direction l'exposition femmes de Paris. Une exposition en l'honneur des femmes du PSG. De celles que l'on connait, joueuses professionnelles telles que Laura Georges, Marie-Laure Delie et Laure Bouleau notamment, défenseur star de l'équipe de foot féminine, ou celles de l'ombre, maître d'hôtel, hôtesse, chargée des partenariats du Parc, etc.
Mais d'autres femmes, il y en avait ce samedi soir. Une tribune dédiée, pleine ou presque au coeur du Parc et saluée par le speaker avant le début du match.
L'idée était bonne et les gens avaient pour la plupart joué le jeu (quelques hommes s'étaient quand même glissé ici et là dans la tribune) pour voir les parisiens remporté haut la main le match. Le foot c'est un peu mon lot quotidien depuis que je suis haute comme 3 ballons, passant mes week-ends aux bords des terrains pour suivre mon frère, mon cousin, les copains et aussi les quelques filles qui déjà faisaient équipe avec les garçons. Ici, les hommes étaient sur le terrain, les femmes en tribunes.
Moi supportrice un jour et supportrices toujours qui se conjuguent ici au pluriel féminin et c'est déjà ça.
Les hommes ont fait le show (avec notamment 15 dernières minutes explosives et un Matuidi -chouchou- bouillant) et les femmes aussi il me semble (s'en souviennent en tout cas mes oreilles).
Une maman derrière moi qui rappelle, même si on n'avait pas besoin de ça, que la passion du foot et d'un club n'est pas une histoire de sexe et un groupe de jeunes supportrices suédoises que la relève côté tribune au moins est assurée (et que Zlatan est une sorte de dieu, même si, si vous voulez mon avis, ce samedi, il méritait surtout le surnom de paresseux (je vais me faire détester).
A quelques mois de la Coupe du Monde de foot féminin espérons que l'engouement se diffuse d'une façon plus globale, et pas uniquement lorsqu'il s'agit dune journée de la femme. Même pourquoi pas un jour, soyons fous, que la tendance terrain-tribune // hommes-femmes s'inverse.
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